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Minc fait du Lefebvre : édifiant !
31/08/2010 11:39
Au nom du principe de responsabilité collective, Alain Minc considère que le pape, d’origine allemande, n’a pas à juger l’expulsion des Roms. De même, les Roms n’ont pas à protester contre leur expulsion puisque les événements de Saint-Aignan sont le fait d’un groupe de gens du voyage. Décidément, pour Roland Hureaux, Minc ne vole pas plus haut que Lefebvre.
Invoquer la Shoah pour défendre les expulsions de Roms décrétées par le Président de la République, tel est l’artifice rhétorique auquel sera parvenu Alain Minc !
Rivalisant avec Frédéric Lefèbvre, l’essayiste est devenu le porte-flingue de Nicolas Sarkozy.
C’est une récidive : on se souvient de la salve d’une rare bassesse que le même avait l’an dernier envoyée à François Bayrou ; il ne l’attaquait ni sur ses propos, ni sur ses actes, mais sur ce qu’il était : démocrate-chrétien, béarnais et fils de paysan : cela suffisait pour qu’il soit aux yeux d’Alain Minc suspect d’être un « Le Pen light » (sic) . Attaquer quelqu’un sur ce qu’il est et non ce qu’il dit ou fait, n’est ce pas une définition du racisme ?
D’autres ont traité Chevènement de pétainiste parce qu’il défendait l’indépendance nationale. Ne pas adhérer sans réserve à l’ultralibéralisme mondialiste, et c’est la reductio ad hitlerium. J’ai entendu une fois quelqu’un de la même mouvance, pas le plus inspiré il est vrai, dire que « quelque part » De Gaulle était pétainiste …
Après Bayrou, Alain Minc vise plus haut : il s’en prend cette fois au pape. Etant allemand, Benoît XVI n’aurait pas le droit de rappeler à un groupe de pèlerins qu’il faut « savoir accueillir les légitimes diversités humaines ». Notons qu’il n’a évoqué explicitement ni la France ni son président : mais il a apparemment suffi qu’il le dise en français pour que la sarkozie se sente morveuse.
On ne reviendra pas sur le grand débat de la culpabilité du peuple allemand, ni sur l’attitude de Joseph Ratzinger vis-à-vis du nazisme. Aurait-il fallu interdire de parole les organisateurs de l’opération Walkyrie, destinée à assassiner Hitler, ou leurs descendants, presque tous catholiques ? Après une enquête approfondie, qui dans son principe était sans doute inutile, Libération a conclu que le pape n’avait pas été nazi ; d’une famille et d’un village opposés au nazisme, enrôlé de force dans les Jeunesses hitlériennes comme tous les enfants des écoles, il fit l’objet de quolibets et bousculé quand on y apprit qu’il voulait devenir prêtre. D’ailleurs, du point de vue catholique, celui qui devient pape cesse d’être d’une nation pour n’appartenir plus qu’à l’Eglise universelle.
Mais le principe de la responsabilité collective, n’est-ce pas précisément une des justifications de tous les génocides ?
C’est ce principe de la responsabilité collective que Nicolas Sarkozy a appliqué aux Roms : un groupe de gens du voyage français attaque une gendarmerie (ce qui, soit dit en passant, au témoignage de vieux gendarmes, n’est pas un fait nouveau), on expulse les Roms étrangers qui n’y sont pour rien pour faire des effets de muscles. Mais, pour raisonner comme Alain Minc, du simple fait qu’ils sont Roms, ils n’ont sans doute rien dire après ce qui s’est passé à Saint-Aignan. « Si ce n’est toi, c’est donc ton frère ou bien quelqu’un des tiens ».
Si le pape a visé Sarkozy – de fait il semble bien que telle ait été son intention -, il n’a eu qu’un seul tort : faire trop d’honneur à ce qui apparaît en définitive comme une pantalonnade : de fait on fait semblant de les expulser puisque ils touchent un pécule pour partir « volontairement ». Moins que du racisme, il s’agit de bêtise, puisque ces mesures, totalement à côté des vrais problèmes et dont l’opinion n’est pas dupe, ne visent qu’à masquer une immense impuissance. Leur logique n’en est pas moins condamnable.
Roland Hureaux, chroniqueur Marianne
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Villepin, davantage soluble dans l’UMP que la tache sur le drapeau tricolore
31/08/2010 11:12
La carte de l’UMP, renouvelée cet été, a t-elle taché sa poche ?
par David Desgouilles
Dominique de Villepin se moque-t-il du monde ? Il faut croire. Lorsqu’on convoque le ban et l’arrière-ban de la presse française pour annoncer la création d’un mouvement politique ; lorsqu’on l’inaugure -le 19 juin dernier- en grandes pompes sous le fier nom de République solidaire ; lorsqu’on se scandalise bruyamment des mesures prises à l’égard des Roms au point de déplorer la tache qui souille ainsi le drapeau tricolore et que l’un de ses amis compare les expulsions au sort des Juifs pendant l’occupation ; on pourrait légitimement penser que certaines distances puissent être prises avec l’UMP.
Or, tel n’est pas le cas. Pendant que les députés villepinistes annonçaient à qui voulait bien l’entendre qu’ils envisageaient de former un groupe parlementaire -et donc de quitter celui du parti présidentiel, l’ancien premier ministre renouvelait son adhésion au “mouvement populaire”, comme l’appelle Xavier Bertrand. C’est d’ailleurs ce dernier qui l’a confirmé comme l’annonçait Libération le 5 aout dernier .
Ainsi République Solidaire est davantage soluble dans l’UMP que la fameuse tache sur le drapeau national. Les parlementaires non inscrits contactés par les proches de Villepin dans le but de rejoindre le fameux groupe et atteindre la barre fatidique des quinze unités seront ainsi fixés. François Bayrou, qui a refusé en 2002 de rejoindre le parti -qui se voulait unique- de la droite, et Nicolas Dupont-Aignan, qui en a claqué la porte lorsque Nicolas Sarkozy fut désigné candidat en janvier 2007, mesureront ainsi l’écart entre les discours martiaux de Galouzeau et la réalité villepiniste. Alors que ces deux personnalités ont pris des risques politiques en volant de leurs propres ailes, en refusant les subsides de l’UMP, Dominique de Villepin, lui, se comporte comme le premier Bernard Kouchner venu.
Comme l’actuel ministre des affaires étrangères, qui joue un pitoyable double-jeu avec sa vraie-fausse hésitation de démission, Villepin semble hésiter entre le rôle de la Vierge Marie et celui de Marie-Madeleine. Certes, le Cardinal de Retz avait enseigné qu’on ne sortait de l’ambiguïté qu’à son détriment. Mais qu’on me pardonne, on n’est plus ici dans l’ambiguïté. On est dans l’escroquerie de grand chemin, celle qui consiste à faire croire à la France entière qu’on a créé un mouvement alternatif à celui du Président de la République, qu’on est l’un des opposants les plus résolus à son action, alors qu’on continue de cotiser dans le même parti que Morano, Estrosi et Hortefeux.
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Commentaire de Manéthon (01/09/2010 17:09) :
Je serai Villepiniste que lorsque De Villepin quittera l'UMP,
rejettera cette Europe qui ne marche plus et retournera au source véritable
du Gaullisme pour servir une certaine idée de la France.
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Un classement sans surprise
31/08/2010 10:48
Un classement de la pauvreté, réalisé par le « journal du net », et dont la « Voix du Nord » se fait l’écho va certainement susciter l’agacement des pontes socialo – umpistes régionaux. Après étude, 30 villes sont signalées comme très pauvres. Parmi elles, 1/3 sont des villes du Nord – Pas de Calais et, pire, 3 communes sont de notre bassin minier :
- Lens, classée 9ème
- Bruay, classée 20ème
- Liévin, classée 24ème
Pour DLR ce n’est hélas vraiment pas une surprise, et l’empressement qu’à montré l’INSEE (la voix de son maître) pour contester cette étude, n’aura eu que pour effet de renforcer notre conviction. Le PS aussi d’ailleurs conteste la méthode employée pour ce classement qu’il juge réducteur. Et pour cause, c’est le résultat de sa politique régionale qui est remis en question. Car dans une région où le revenu fiscal médian des ménages est le plus bas de France et, à l’inverse, le taux de chômage est le plus élevé*, où les jeunes désespèrent d’une inactivité sans fin, beaucoup préférant partir, on ne peut décemment pas dire que la politique économique orienté par le PS soit une réussite. Celui-ci n’a jamais mis en place de réelles politiques volontaristes pour lutter contre cette paupérisation. Et puis, des « pauvres » c’est toujours utile pour garnir son fonds de clientèle électorale, et le PS ne se gène pas pour y puiser. L’UMP n’est pas exempt de cette politique catastrophique. Outre qu’au niveau national il aide pas ou peu notre Région, il s’avère aussi qu’ici, moult petits barons UMP et NC, maires de villes sanctuarisées à usages exclusif de nantis, refusent toujours de faire édifier des logements sociaux dans leurs communes d’où un déséquilibre de l’assiette fiscale de la taxe d’habitation par habitant et une pression encore plus forte sur des villes déjà saturée comme Lens qui détient un parc locatif social qui s’élève à environ 70% de l’ensemble de son parc immobilier. Il est vrai que pour des villes de gauche, l’afflux de population pauvre, taillable et corvéable à souhait, est toujours une aubaine, surtout en période électorale.
Le Comité de Circonscription
* Chiffres pour le Nord/Pas de Calais :
- Revenu médian national : 16 423 €
- Revenu médian régional : 14 648 € dont 15 001€ pour le Nord et 14 085 € pour le Pas de Calais
- Taux de chômage : 13 % (9,5 % moyenne nationale)
- 17 % des habitants de la région vivent en dessous du seuil de pauvreté qui est établis à 788 € par mois.
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Commentaire de cogito ergo sum (31/08/2010 14:19) :
L'article de VDN signale également que nous sommes à égalité sur les
chiffres avec la Wallonie voisine qui, comme c'est curieux, est
également dirigée depuis trés longtemps par le parti socialiste d'Elio
Di Rupo. Mais on va encore dire que nous sommes des mauvaises langues...
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Commentaire de cimares (14/09/2010 16:48) :
Cette pauvreté a été pointé du doigt il y a déjà bien des années en 2001,
lorsque le diagnostic des la situation de l'agglomération a été
élaboré dans le cadre de la politique de la ville.
J'avais constaté à cette époque que le revenu moyen par habitant était
le plus faible de France, Outre-mer compris !
J'avoue avoir des difficultés à comprendre qu'une région qui a
enrichi tout le reste du pays ait pu ainsi régresser à ce point.
Il y a à n'en pas douter quelques analogies avec les terres
coloniales. Curieusement, ces dernières ont su développer une élite locale
reconnue pour se sortir d'un sous développement endémique. Mais
peut-on en dire autant de notre secteur ?
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Hortefeux et Besson rivalisent sur la déchéance de nationalité
30/08/2010 16:05
Lequel des deux trouvera grâce aux yeux de Nicolas Sarkozy ? Brice Hortefeux, le ministre de l’intérieur, et Éric Besson, le ministre de l’immigration, sont en désaccord sur les modalités de la déchéance de nationalité. Non pas sur le principe de la réforme annoncée par le président de la République lors de son discours de Grenoble fin juillet 2010, mais sur son périmètre.
L’arbitrage élyséen devrait intervenir la semaine prochaine sur des amendements gouvernementaux susceptibles d’être intégrés au projet de loi sur l’immigration examiné à l’Assemblée nationale à partir du 27 septembre.
En pleine surenchère sécuritaire, le premier flic de France a fait de cette question une priorité depuis l’«affaire» Lies Hebbadj, du nom de ce Français musulman de Loire-Atlantique, soupçonné de polygamie et de fraude aux prestations sociales. Refusant de laisser Éric Besson gérer seul le dossier, l’ex-ministre de l’immigration semble regretter, ces dernières semaines, sa précédente affectation, comme en témoignent également ses nombreuses interventions sur les expulsions de Roms.
Révélé vendredi 27 août dans Libération, le projet de Brice Hortefeux ajoute la polygamie «de fait» aux motifs de déchéance de nationalité pour les Français naturalisés. Pour cela, il crée un «délit de “polygamie de fait, escroquerie, abus de faiblesse”» et prévoit que «le fait, pour une personne engagée dans les liens du mariage, de tirer profit ou de partager le produit, de manière inhabituelle, de prestations sociales indûment perçues, à la suite de déclarations inexactes ou incomplètes, par un tiers avec lequel il a contracté une union de fait, caractérisée par une vie commune présentant un caractère de stabilité et de continuité, est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende». Les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et 100.000 euros d’amende «lorsque l’infraction est commise en profitant de l’état d’ignorance ou de la situation de faiblesse» du partenaire.
Ce dispositif apparaît fragile juridiquement tant il soulève de questions: qu’est-ce que la polygamie «de fait», sinon l’adultère? Comment définir une «union de fait»? Quand commence une «vie commune»? Comment prouver que quelqu’un tire profit ou partage le «produit de prestations indûment perçues»?
Risques d’inconstitutionnalité
La déchéance de nationalité est aujourd’hui réservée aux crimes et délits constituant «une atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation» ou «un acte de terrorisme» (article 25 du Code civil), à condition, en outre, que la personne dispose d’une autre nationalité (afin qu’elle ne devienne pas apatride) et qu’elle ait acquis la nationalité française depuis moins de 10 ou 15 ans selon les cas. Faire de la fraude aux prestations familiales un motif de déchéance risquerait ainsi de contrevenir au principe de proportionnalité des peines.
Ni le ministre de l’immigration, ni la ministre de la justice ne veulent aller sur ce terrain glissant. L’un et l’autre préfèrent s’en tenir au discours de Grenoble au cours duquel Nicolas Sarkozy avait demandé que la nationalité puisse «être retirée à toute personne d’origine étrangère qui aurait volontairement porté atteinte» à la vie d’un policier, d’un gendarme ou de tout autre «dépositaire de l’autorité publique». Face au tollé provoqué par l’abus de langage du chef de l’État, la référence aux «personnes d’origine étrangère» a été remplacée par la mention aux personnes ayant acquis la nationalité française au cours de leur vie. Le président de la République n’ayant pas évoqué la polygamie, Éric Besson et Michèle Alliot-Marie l’ont laissée de côté.
Le risque de banalisation n’en est pas moins encore présent. Et, là aussi, les risques d’inconstitutionnalité bien réels, puisqu’une telle mesure pourrait être jugée contraire à l’article 1er de la Constitution qui assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens «sans distinction d’origine, de race ou de religion».
Pour appuyer sa proposition, le ministre de l’immigration se réfère à la situation légale d’avant 1998 quand il était possible de déchoir de leur nationalité des personnes devenues françaises depuis moins de dix ans condamnées à au moins cinq ans de prison. C’est à celle d’avant 1993 qu’il suggère de revenir concernant l’acquisition de la nationalité à 18 ans. Cette autre commande de Nicolas Sarkozy devrait également prendre la forme d’un amendement stipulant que la procédure ne sera plus automatique, comme elle l’est actuellement, pour les jeunes «ancrés dans la délinquance».
Avant même l’intervention estivale du chef de l’État sur la sécurité, Éric Besson avait de lui-même prévu de durcir la législation en liant, dans son projet de loi, l’acquisition de la nationalité à la signature d’une «charte des droits et devoirs du citoyen» confirmant «l’adhésion aux principes et valeurs de la République». À ce moment-là, il s’agissait d’exclure le voile intégral de la communauté nationale.
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La comédie des Orphelins , Les vrais fossoyeurs du gaullisme
30/08/2010 15:50
La comédie des orphelins
de Christophe Barbier
Essai (broché).
Paru en 10/2000
Edition : Grasset
364 pages
ISBN : 2246575516
Résumé :
De juin 1997 à juin 2000, outre Jacques Chirac, Philippe Séguin, Nicolas Sarkozy et Charles Pasqua occupent les premiers rôles, avec l'activisme de ceux qui croient que leur heure a sonné. Alain Juppé et Edouard Balladur mènent la danse des seconds couteaux, lames de revanche emmanchées d'amertume. Dans la partie de ce livre consacrée à Chirac, Christophe Barbier aborde le statut du Président en cohabitation, le problème des institutions, le nouveau rapport au peuple qu'il bâtit, mais également son entourage élyséen et sa psychologie personnelle, à travers toute une série d'épisodes inédits : Chirac sur le Tour de France, Chirac et la bonne chère, Chirac et l'humour, etc. La partie consacrée à Séguin raconte son échec complet à la tête du RPR, consommé en plusieurs étapes : la séguinisation avortée du mouvement (automne 1997), le fiasco des Assises de janvier 1998, la tragédie des régionales (mars 1998), la pantalonnade de l'élection du président du RPR (décembre 1998), la comédie des européennes (printemps 1999), le happening parisien. On étudiera les rapports de Séguin avec Chirac, son culte mystique du gaullisme, sa logomachie, son caractère impossible... La partie sur Sarkozy montre comment il travaille au corps le mouvement, du tour des fédérations à la désastreuse campagne des européennes, tout en se réconciliant avec l'Elysée, pour être indispensable à Chirac en 2002. D'une traversée du désert à l'autre, il a compris qu'il devait transformer sa carrière en destin. La partie sur Pasqua détaille, sur fond de haine inaboutie envers Chirac, son lent divorce avec le RPR, l'invention du souverainisme, l'aventure de l'élection européenne...
Christophe Barbier nous dresse ici un portrait sans concession de Chirac, Balladur et Sarkozy qui furent les principaux fossoyeurs du Gaullisme.
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